The Peninsula Paris

Paris

Paris attire chaque année 29 millions de touristes. Un chiffre qui fait tourner la tête, et pourtant la capitale française semble incapable de se reposer sur ses lauriers. Riche de 2000 ans d’histoire, la ville présente une concentration exceptionnelle de monuments, de musées et une multitude de quartiers. Mais chaque année, de nouveaux établissements voient le jour, de nouvelles créations qui s’inscrivent naturellement dans l’histoire d’une ville qui a soif d’éternité.

Connue dans le monde entier, l’avenue des Champs-Elysées, qui s’étend de la Place de la Concorde à l’Arc de triomphe, doit son surnom de plus belle avenue du monde à l’incroyable perspective qu’elle offre depuis Le Louvre et au nombre impressionnants de boutiques qu’on peut y trouver.

L’Arc de triomphe qui s’élève sur la Place de l’Etoile est un point de repère incontournable, l'un des monuments les plus reconnaissables de la ville avec la Tour Eiffel. Mais c’est aussi un véritable lieu de rassemblement populaire. Des milliers de personnes, Parisiens ou touristes en goguette, se retrouvent sur la plus belle avenue du monde pour fêter la nouvelle année. Particulièrement prisé des étrangers, ce quartier incarne pour beaucoup le rayonnement de la capitale française.

Le charme parisien sublimé

En s’installant à Paris, le groupe The Peninsula a vu les choses en grand. En très grand, même. Le bâtiment choisit est un immeuble parisien classique avec des touches haussmanniennes et néoclassiques, un lieu qui fut dès 1908 inauguré en tant que grand hôtel, déjà ! Il servit ensuite de locaux à l’Unesco. Aujourd’hui, l’espace, magnifiquement restauré et réaménagé est désormais dédié aux grands volumes, à l’opulence d’un hôtel de luxe de très grand standing, un palace...

En entrant, on ne peut être que frappé par le lobby dont la sobriété des murs blancs contraste avec l’œuvre imposante qui y est exposée en son milieu. Cette installation délicate et intemporelle montre des feuilles de platanes en verre suspendues dans leur ascension, à jamais figées dans un mouvement désormais cristallin… Poésie et enchantement accueillent ainsi le visiteur qui goûte déjà au luxe et au raffinement qui font de cet établissement l'un des plus spectaculaires de la capitale.

Au fil de la découverte de l’hôtel, on est séduit par des espaces lisibles et élégants, l’œil est toujours agréablement caressé par la douceur et la noblesse des matériaux. Une visite qui est enrichi par les œuvres d’arts présentes dans l’hôtel, avec notamment des sculptures et des installations qui proviennent de la Sabrina Fung Fine Art d’Hong Kong. Une touche de sophistication qui souligne le caractère contemporain de ce lieu envoûtant.

Les 200 chambres du Peninsula, offrent, cela va sans dire, un confort et un raffinement digne du 21^ème siècle, mais surtout digne d’un établissement inoubliable. La domotique est cœur des chambres et suites, un système fait maison, c’est-à-dire conçu par et pour les hôtels Peninsula. Il en résulte un bien-être particulier car tout est accessible via tablette, de n’importe quelle pièce. L’avenir est déjà chez lui dans les hébergements du Peninsula Paris.

Mais que serait un cinq étoiles parisien sans offres gastronomiques exceptionnelle ? Le Peninsula ne déroge pas à la règle. Bien au contraire, il lui confère de nouvelles lettres d’excellence ! The Lobby propose une cuisine française et internationale dans une ambiance d’époque avec hauts plafonds et panneaux restaurés à la feuille d’or. L’Oiseau Blanc est situé au sixième étage. Ce restaurant de gastronomie française rend hommage aux pilotes de la 1^ère  Guerre Mondiale qui ont tenté de traverser l'Atlantique en 1927. On y trouve une collection unique de souvenirs liés à l'aviation, dont une réplique du biplan Oiseau Blanc au 1/75^e, ce qui en fait un lieu unique à Paris. Lili est un restaurant gastronomique cantonais où le savoir-faire du groupe Peninsula se révèle dans un décor baroque et théâtral qui évoque l’opéra chinois et l’opéra française.

Bien qu’inauguré en Août 2014, le Peninsula est déjà chargé d’histoire : les Accords de paix de Paris qui mirent fin à la guerre du Vietnam et dont l’artisan fut Henry Kissinger, furent signés en 1973 dans ce  qui est devenu aujourd’hui Le Bar Kléber. Et c’est dans ce lieu que George Gershwin a composé "Un Américain à Paris" en 1928…