A quelques 90 kilomètres au sud-est des côtes floridiennes, l’archipel des Bahamas découvre son chapelet d’îles, pépites dorées posées sur les eaux de l’Océan Atlantique. De longues étendues de plages de sable fin, des eaux couleur azur, turquoise ou marine, les représentations édéniques de l’archipel demeurent fortement ancrées dans l’imaginaire collectif.
Depuis les années 30, les Bahamas figurent au rang des destinations balnéaires parmi les plus en vogue, particulièrement appréciée du tout Hollywood : Johnny Depp et Nicholas Cage ont acheté récemment des îles privées pour la modique somme de 3 millions de dollars.
De nombreux complexes hôteliers ont fleuri le long des plages, certains extravagants, d’autres intimistes, pour accueillir chaque année le million de visiteurs de passage sur l’archipel. Emblématique du succès rencontré auprès des voyageurs, Paradise Island s’impose comme l’une des plus visitées. Ancien îlot inoccupé, autrefois connu sous le sobriquet de Hog Island, l’île des cochons, cette magnifique étendue de terre abrite un établissement hôtelier de charme.
En 1930, Hog Island, fine étendue de terre longue de 9 kilomètres, sert de refuge à une classe américaine aisée venue y installer ses résidences secondaires. Nul ne se doute alors que l’île au nom peu élogieux accueillerait quelques années plus tard l’un des complexes touristiques les plus importants de l’archipel des Bahamas.
En 1959, l’américain Huntington Hartford, héritier de la firme Atlantic & Pacific Tea Company achète une partie de l’île mise en vente par un investisseur suédois. Le site offre de splendides étendues de plage, cadre idéal pour y établir un établissement hôtelier de luxe susceptible d’attirer une large clientèle. Un hôtel d’une rare élégance voit le jour. Serti de jardins romantiques inspirés des jardins de Versailles, l’Ocean Club offre un trésor de raffinement en plein cœur du paysage bahaméen.
Loin de l’agitation et du faste déployé par son voisin l’Atlantis Paradise Island, l’hôtel découvre une architecture coloniale empreinte de charme et de discrétion. Les 8 cottages de la résidence, nichés à proximité des jardins, offrent une vue imprenable sur les eaux turquoises de l’océan.
Il n’est guère surprenant que le chef Jean-George Vongerichten ait choisi un tel endroit pour ouvrir sa première table caribéenne, le Dune, savante composition de cuisine franco-américaine jointe aux saveurs bahaméennes.
Le One & Only Ocean Club a servi de décor au tournage du film "Casino Royale" de Martin Campbell en 2006. Pour les besoins du film, le lobby de l’hôtel s’est transformé en casino et la villa n° 1085 aménagée pour accueillir James Bond 007, le célèbre agent britannique.
Cinq étoiles / Golf resort / Luxe / Plages de sable blanc / Vue magnifique sur l'océan / Jardins versaillais / Chef étoilé Michelin / Cuisine contemporaine d'influence méditerranéenne & asiatique / Restauration gourmande en chambre / Clubhouse / Café en bord de piscine / Piscine extérieure / Piscine extérieure pour enfants / Spa / Fitness center / Cours de yoga / Kids club / Ordinateur portable en suite / iHome pour iPod & iPad / Bibliothèque / Six courts de tennis / Sports aquatiques / Casino à proximité
Ouvert toute l’année
105 chambres et suites
Chambre double à partir de 724 euros
Aéroport international de Nassau (NAS)
ONE&ONLY OCEAN CLUB
One Casino Drive
Paradise Island
Bahamas
Environ 9 heures
- 6 heures
Le climat est tropical, voire tropical maritime. Températures assez stables, entre 25°C et 30°C (mer de 22°C à 29°C).
Pour les ressortissants français, passeport valide 6 mois après la date de retour (+ billet retour ou continuation).
Les enfants doivent posséder leur propre passeport.
Les personnes transitant par les Etats-Unis devront se conformer à la législation en vigueur dans ce pays : passeport à lecture optique ou e-passeport obligatoire.
Depuis le 12 janvier 2009, une autorisation « ESTA » est impérative pour l’entrée aux Etats-Unis. Elle s’obtient uniquement via internet : https://esta.cbp.dhs.gov
Pas besoin de visa.
Aucun vaccin n'est obligatoire, néanmoins il est conseillé de mettre à jour sa vaccination diphtérie-tétanos-poliomyélite.
Le dollar Bahamien (BSD) et le dollar US
Anglais
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